Un baiser stimule un dixi&egrave;me du corps d'un seul coup. Encore faut-il savoir bien embrasser !&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

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Du baiser au bébé

Le terme Lisa peut désigner un instrument d'astronomie et un ancien ordinateur d'Apple.
Lisa en astronomie
Le Lisa, pour Laser interferometer space antenna, est un projet d'expérience conjointe Esa-Nasa de détection dans l'espace des ondes gravitationnelles, à l'aide d'un interféromètre constitué de trois vaisseaux voguant dans l'espace au sommet d'un triangle équilatéral. 
Les trois vaisseaux qui seront envoyés en 2015 par une fusée Delta IV se placeront à une distance de 5 millions de km, en formation de triangle équilatéral. Ensemble, ils agiront comme un interféromètre de Michelson et mesureront la distorsion de l'espace causée par le passage d'ondes gravitationnelles.
Lisa en informatique
Lisa est un ordinateur d'Apple sorti en 1983, après l'Apple 3 et avant le Macintosh (ancêtre des Mac). Il inaugurait l'utilisation d'une souris et d'une interface utilisateur graphique, aujourd'hui répandue, et qui visualise les documents et les répertoires (ou dossiers) sous forme de petites images (les icônes). L'interface du Lisa, inspirée par les travaux réalisés au Palo Alto Research Center (Parc), de Xerox, utilisait le principe des fenêtres qui présentent chacune un processus. Elle s'appuyait, comme sur les Mac et PC actuels, sur la métaphore du bureau, présentant les documents dans des dossiers et sous-dossiers, avec une corbeille pour jeter les fichiers devenus inutiles.
Jusque-là, l'interface utilisateur (par exemple celle de MS-Dos, présente à l'époque sur les micro-ordinateurs dits « compatibles IBM PC ») se réduisait à une ligne de commande.
Le projet a démarré en 1976, année de naissance de Lisa, première fille de Steve Jobs, cofondateur d'Apple.
Lisa était une machine de grande taille, avec clavier séparé et écran intégré (monochrome, cathodique, 12 pouces) dans un boîtier monté sur pieds (entre lesquels se glissait le clavier). Deux lecteurs de disquette (5,25 pouces) étaient également présents dans le boîtier, à droite de l'écran. Un disque dur optionnel (5 Mo) pouvait se poser au-dessus.
Le système d'exploitation (Lisa OS) était réalisé par Apple et différent de celui du Macintosh, mais le Lisa pouvait servir à développer des logiciels pour ce dernier. Le processeur était un Motorola 68000 (à 1 MHz), puissant pour l'époque et la mémoire vive atteignait 1 Mo (plus que les micro-ordinateurs du moment). Le prix élevé (près de 10.000 dollars) a refroidi la clientèle mais Lisa a ouvert la voie au Macintosh (sorti en 1984), plus petit mais meilleur marché.
Une deuxième version (Lisa 2) a vu le jour en 1984, avec un lecteur de disquette de 3,5 pouces puis une troisième en 1985, rebaptisé Macintosh XL avec une mémoire de 512 ko extensible à 2 Mo. Devant les ventes faibles et le succès des Macintosh, le Lisa a été abandonné.

Lisa

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Le flux sanguin est accru dans les capillaires des l&egrave;vres pendant un baiser passionnel. Les l&egrave;vres gonflent, ce qui active les [popupdefinition id=13864]nerfs[/popupdefinition] sensoriels et procure plus de plaisir.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le baiser en caméra thermique

Le nerf est un composant du système nerveux périphérique, agissant comme un réseau de communication complexe qui s'étend à partir du cerveau et de la moelle épinière vers le reste du corps humain. Anatomie du nerfLes nerfs sont des structures tubulaires composées de fibres nerveuses qui transmettent les signaux électriques entre le cerveau, la moelle épinière et le reste du corps. Chaque nerf a une fonction spécifique. Le nerf se compose d’axones de neurones regroupés en fascicules dans un tissu appelé périnèvre. Le nerf comprend plusieurs fascicules associés grâce à l’épinèvre, tissu conjonctif traversé par des vaisseaux sanguins. Les nerfs peuvent être sensitifs lorsqu’ils remontent des informations des récepteurs sensoriels (situés dans la peau, les muscles, les viscères) vers l’encéphale. Ils sont moteurs lorsque l’ordre part du cerveau et qu’ils transmettent le message vers les organes effecteurs.Fonctionnement du nerfQu’il soit afférent (des systèmes sensitifs jusqu’au système nerveux central) ou efférent (du système nerveux central vers les muscles ou les glandes), le message nerveux est transmis par un potentiel d’actions électriques circulant unilatéralement dans les neurones, et canalisé par une gaine de myéline, synthétisée par les oligodendrocytes. On estime qu'il y a des milliards de connexions nerveuses dans l'ensemble du système nerveux. Les neurones, cellules spécialisées qui transmettent l'information sous forme de signaux électriques, se composent de trois parties principales : le corps cellulaire, les dendrites et l'axone. Le nerf se compose de plusieurs structures imbriquées les unes dans les autres. À sa base se trouvent les neurones et leurs axones. © Daily Anthony, Wikipédia, CC by 3.0Classification des nerfs : les 3 types principauxOn distingue trois types de nerfs : les nerfs sensitifs (partant des organes des sens), moteurs (qui vont jusqu’aux muscles) et mixtes ou végétatifs (innervant les viscères et les glandes). Chacun de ces types remplit des fonctions spécifiques dans la transmission des signaux entre les différentes parties du corps et le système nerveux central.Les 12 nerfs crâniens et leurs fonctionsLe système nerveux comprend 12 paires de nerfs crâniens. Elles émergent directement du cerveau ou du tronc cérébral, et elles sont responsables de diverses fonctions sensorielles (vision, ouïe, odorat, sensation du visage…) et motrices dans la tête et le cou.Voici une liste des douze nerfs crâniens et leurs principales fonctions :nerf olfactif (Ier nerf crânien) : sens de l'odorat ;nerf optique (IIe nerf crânien) : vision ;nerf oculomoteur (IIIe nerf crânien) : mouvements oculaires, contraction de la pupille ;nerf trochléaire (IVe nerf crânien) : contrôle des muscles oculaires, particulièrement celui du muscle oblique supérieur ;nerf trijumeau (Ve nerf crânien) : récepteurs sensoriels, mastication ;nerf abducens (VIe nerf crânien) : contrôle des muscles permettant la rotation de l'œil ;nerf facial (VIIe nerf crânien) : mouvements faciaux, goût (sur les deux tiers antérieurs de la langue) ;nerf vestibulocochléaire (VIIIe nerf crânien) : équilibre et audition ;nerf glossopharyngien (IXe nerf crânien) : déglutition, goût (sur le tiers postérieur de la langue), sensation dans la gorge ;nerf vague (Xe nerf crânien) : contrôle des organes internes, déglutition, parole ;nerf accessoire (XIe nerf crânien) : mouvements du cou, des épaules ;nerf hypoglosse (XIIe nerf crânien) : mouvements de la langue.Les nerfs spinauxEn plus des nerfs crâniens, le système nerveux périphérique comprend 31 nerfs spinaux qui naissent de la moelle épinière et se divisent ensuite en différentes branches innervant différentes parties du corps.À chaque segment vertébral, est associée une paire de nerfs spinaux. Chaque paire de nerfs spinaux se divise en deux branches principales :nerf spinal antérieur : cette branche transmet principalement les signaux moteurs du système nerveux central vers les muscles et les glandes.nerf spinal postérieur : cette branche transporte principalement les signaux sensoriels des différentes parties du corps vers le système nerveux central.Voici les 31 paires de nerfs spinaux8 paires de nerfs cervicaux (C1 à C8) : de la région cervicale de la moelle épinière, innervant principalement le cou, les épaules, les bras, les mains et une partie de la tête.12 paires de nerfs thoraciques (T1 à T12) : de la région thoracique de la moelle épinière, innervant les muscles et la peau du thorax et de l'abdomen.5 paires de nerfs lombaires (L1 à L5) : de la région lombaire de la moelle épinière, innervant les muscles et la peau des membres inférieurs, ainsi que certaines parties de l'abdomen et du dos.5 paires de nerfs sacrés (S1 à S5) : de la région sacrée de la moelle épinière, innervant principalement les muscles et la peau de la région pelvienne, des fesses et des jambes.1 paire de nerfs coccygiens (Co) : de la région coccygienne de la moelle épinière, bien que chez de nombreuses personnes, ces nerfs fusionnent souvent pour former un nerf coccygien unique.Le nerf le plus long du corps humainLe nerf le plus long du corps humain est le nerf sciatique, mesurant jusqu'à 60 centimètres. Il s'étend à travers la région pelvienne, la fesse, le long de la cuisse, et se divise ensuite en branches qui innervent le bas de la jambe et le pied. Il contrôle les mouvements des membres inférieurs en permettant la marche, la flexion et l'extension.Des problèmes tels que la compression, l'inflammation ou l'irritation du nerf sciatique peuvent entraîner une condition connue sous le nom de sciatalgie, communément appelée sciatique. Affections nerveuses et problèmes neurologiquesLes maladies des nerfs, également connues sous le nom de neuropathies, peuvent entraîner des symptômes variés tels que des douleurs, des engourdissements et des perturbations sensorielles. Les diverses pathologies et problèmes neurologiquesl peuvent être d'origine génétiques, dégénératives, inflammatoires, traumatiques, infectieuses, ou auto-immunes. En voici quelques-unes courantes :Neuropathie périphérique : endommagement des nerfs périphériques, entraînant des symptômes tels que douleur, engourdissement, picotements, faiblesse musculaire. Sclérose en plaques (SEP) : maladie auto-immune qui affecte la gaine de myéline entourant les fibres nerveuses, provoquant des problèmes de communication entre le cerveau et le reste du corps. Maladie de Charcot-Marie-Tooth : groupe de maladies héréditaires affectant les nerfs périphériques, entraînant une faiblesse musculaire et une diminution de la sensibilité.Amyotrophie spinale (SMA) : maladie génétique caractérisée par la dégénérescence des motoneurones dans la moelle épinière, entraînant une faiblesse musculaire progressive.Maladie de Guillain-Barré : maladie auto-immune qui affecte le système nerveux périphérique, provoquant une faiblesse musculaire progressive.Névralgie du trijumeau : affection caractérisée par des douleurs intenses sur le côté du visage, souvent déclenchées par des stimuli légers.Épilepsie : trouble neurologique caractérisé par des crises épileptiques récurrentes, souvent causées par une activité électrique anormale dans le cerveau.Maladie d'Alzheimer : maladie neurodégénérative caractérisée par une perte progressive de la mémoire et des fonctions cognitives.La régénération nerveuseContrairement à de nombreuses cellules du corps humain, les nerfs peuvent parfois se régénérer. Cependant, cette capacité dépend de divers facteurs tels que la gravité de la blessure et la proximité de la lésion par rapport au corps cellulaire du neurone.

Nerf

2127_le-baiser-en-camera-thermique

Le professeur Steven Nordin, du d&eacute;partement de psychologie &agrave; l'universit&eacute; Umea, en Su&egrave;de, &eacute;tudie le r&ocirc;le de l'[popupdefinition id=14735]olfaction[/popupdefinition] dans les ph&eacute;nom&egrave;nes de changement de go&ucirc;ts alimentaires chez les femmes enceintes &agrave; diff&eacute;rents stades.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Les perceptions sensorielles au cours de la grossesse

L'odorat est le sens par lequel les animaux peuvent percevoir les odeurs. Il est aussi désigné par le terme « olfaction ».
Rôle de l'odorat
L’odorat repose sur des chimiorécepteurs présents dans le nez qui détectent des substances chimiques volatiles présentes dans l’air. Chez certains animaux, l’odorat peut servir à trouver un partenaire sexuel ou reconnaître un territoire marqué. L’odorat joue aussi un rôle important dans le comportement alimentaire.
Fonctionnement de l'odorat
Les cellules olfactives sont présentes dans la partie supérieure de la cavité nasale et possèdent des cils qui baignent dans le mucus. Si une molécule odorante se lie à un récepteur présent sur des cils olfactifs, une dépolarisation de la cellule olfactive a lieu et permet de transmettre un message. Grâce à leurs axones qui se rassemblent dans le nerf olfactif, ces cellules envoient des influx au bulbe olfactif situé dans le cerveau. 
L’odorat humain est moins développé que chez d’autres animaux mais le nez humain peut tout de même distinguer des odeurs subtiles, par exemple en œnologie.

Odorat

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Le changement des goûts alimentaires chez les femmes enceintes

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Les perceptions sensorielles des femmes enceintes

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Des &eacute;tudes sur les pr&eacute;f&eacute;rences visuelles et olfactives des nouveau-n&eacute;s montrent que le b&eacute;b&eacute; est tout naturellement attir&eacute; par l'odeur du lait et celle de sa m&egrave;re mais &eacute;galement par celle de son p&egrave;re : on parle d'une signature olfactive de famille. Cette signature existe &eacute;galement chez la m&egrave;re et le p&egrave;re qui sont capables de reconna&icirc;tre &agrave; leur tour l'odeur sp&eacute;cifique de leur enfant.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Les perceptions sensorielles des nouveau-nés

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Des recherches ont &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute;es sur l'effet des caresses sur les &eacute;motions et l'excitation sexuelle. Le professeur Hakan Olausson, de l'h&ocirc;pital universitaire de Sahlgrenska, en Su&egrave;de, cherche &agrave; localiser les [popupdefinition id=2535]fibres nerveuses[/popupdefinition] de l'[popupdefinition id=2681]&eacute;piderme[/popupdefinition] qui agissent sur les r&eacute;gions du [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] consacr&eacute;es &agrave; ces r&eacute;actions. Il travaille ici gr&acirc;ce &agrave; l'[popupdefinition id=8096]IRM[/popupdefinition].Chaque centim&egrave;tre carr&eacute; de notre &eacute;piderme comporte en effet des millions de r&eacute;cepteurs nerveux. Au moindre contact sur la peau, notre cerveau re&ccedil;oit l'information. L'[popupdefinition id=4133]hypothalamus[/popupdefinition] lib&egrave;re des [popupdefinition id=751]hormones[/popupdefinition] qui vont stimuler les organes g&eacute;nitaux qui, &agrave; leur tour, vont diffuser leurs hormones : [popupdefinition id=2855]testost&eacute;rone[/popupdefinition] et [popupdefinition id=2786]&oelig;strog&egrave;ne[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

L'effet des caresses sur les émotions

L’hypothalamus fait partie du système nerveux central.Fonction de l’hypothalamusL’hypothalamus est une petite région située au cœur du cerveau, qui sert de pont entre le système nerveux autonome et le système endocrinien. Il est en effet impliqué dans la régulation de grandes fonctions comme la faim, la soif, le sommeil ou la température corporelle. Il est aussi impliqué dans le comportement sexuel et les émotions.Ses fonctions endocrines (sécrétion de neurohormones) entraînent la régulation de la fonction endocrine de l’hypophyse, la glande située dessous.Les hormones sécrétées par l’hypothalamus ont toutes, ou presque, une influence sur la production des hormones hypophysaires :la dopamine inhibe la production de prolactine ;l’hormone thyréotrope (TRH) stimule la production de thyréostimuline (TSH) ;la somatocrinine (GH-RH) permet la libération de l'hormone de croissance somatotrophine (STH) ;la somatostatine (GH-RIH) inhibe le largage de la STH ;la gonadolibérine (ou GnRH) est responsable de la synthèse et de la sécrétion de la FSH et de la LH (hormones) ;la corticolibérine (CRH) favorise la production d’hormone corticotrope (ACTH) ;l’ocytocine (impliquée dans les contractions utérines, la lactation et l’attachement) et la vasopressine (une hormone antidiurétique) sont synthétisées par l’hypothalamus mais libérées par l’hypophyse dans la circulation sanguine.Structure de l’hypothalamusL’hypothalamus est de petite taille (quelques centimètres cubes) et constitué de nombreuses paires de noyaux formés de cellules nerveuses, situées sous le thalamus et au-dessus de l’hypophyse. Une petite tige relie d’ailleurs l’hypophyse à l’hypothalamus, la tige pituitaire. Les neurones de l’hypothalamus synthétisent les différentes hormones et les libèrent dans un premier réseau de capillaires qui se rassemblent pour former une veine, le système porte hypothalamo-hypophysaire. Celui-ci transporte les hormones de l’hypothalamus vers l’hypophyse, où les hormones sont relarguées par un deuxième réseau de capillaire pour activer les neurones hypophysaires.

Hypothalamus

L’IRM ou Imagerie par résonance magnétique est l’une des techniques d’imagerie médicale les plus récentes. Elle permet de visualiser avec une grande précision les organes et tissus mous, dans différents plans de l’espace. Il est ainsi possible de déterminer la position exacte de lésions autrement invisibles. Réalisé sous la direction d’un médecin radiologue, cet examen ne provoque aucune irradiation. Il ne fait appel en effet, qu’aux propriétés des champs magnétiques.
Pratique de l’IRM
 Dans la mesure où l’IRM permet une analyse très fine de la structure des tissus, ses champs d’application sont larges. C’est ainsi que cet examen est particulièrement utilisé dans l’exploration des pathologies cérébrales, rachidiennes, osseuses, articulaires, digestives, gynécologiques, vasculaires et cardiaques.
Déroulement de l'IRM
L’appareil comporte un aimant de grande puissance, d’où le terme « magnétique ». La technique consiste à faire vibrer les noyaux d’hydrogène qui composent les tissus de l’organisme. Ces noyaux renferment en effet des protons qui vont agir comme autant de petits aimants. En vibrant, ils émettent des signaux qui vont être captés par une antenne puis être transformés en images. Dans la salle d’examen, le patient est allongé sur un lit. L’antenne est alors disposée sur la zone à examiner, puis le lit glisse doucement dans le tunnel de l’appareil. L’examen dure généralement de 15 à 20 minutes.
Risques éventuels de l'IRM
Bien que l’équipement utilisé soit bruyant, l’IRM n’est pas un examen douloureux. Le patient doit s’être préalablement dépouillé de tout objet métallique (montre, bracelet, collier, carte de crédit…). Le cas échéant, il doit également signaler le port d’une valve ou d’une pile cardiaque, d’une prothèse ou d’implants. Tous ces éléments sont en effet susceptibles de perturber le déroulement de l’examen. À noter enfin, qu’un produit de contraste peut également être injecté. Généralement bien toléré, il peut toutefois être à l’origine de manifestations allergiques sans gravité (urticaire). Les réactions plus graves sont exceptionnelles, et peuvent généralement être anticipées lors de la consultation préalable à l’examen.

Hormone sexuelle. Les œstrogènes, ou estrogènes, sont des stéroïdes sécrétés par les ovaires, le placenta, le cortex surrénal et les testicules. Ils interviennent, lors de la puberté, dans l'apparition des caractères sexuels féminins secondaires, et par la suite dans le cycle menstruel (le maximum de production correspondant à l'ovulation cf. progestérone) ainsi que dans divers métabolismes. 
Les œstrogènes sont utilisés en contraception, en cancérologie et pour l'activation de la production maternelle de lait.
Historique des œstrogènes
L'existence des œstrogènes est connue depuis la fin du XIXe siècle. Butenandt découvrit l'oestrone. Depuis peu, on connaît des phyto-œstrogènes, d'origine végétale, qui pourraient mimer l'action des œstrogènes.Champ lexical : estrogène | Œstrogène

Oestrogène

Une hormone est une substance biologique synthétisée par des cellules spéciales (les cellules endocrines) et directement sécrétée dans le sang ou la lymphe.Hormones peptidiques, lipidiques et stéroïdiennesLes hormones servent à transmettre un signal chimique : elles exercent une action à distance, sur un tissu ou organe différent du lieu d’émission et qui possède des récepteurs pour l’hormone.Les hormones peuvent être peptidiques ou lipidiques. Les hormones stéroïdiennes (cortisol, testostérone…) dérivent du cholestérol.Liste d'hormones : ocytocine, adrénaline, cortisone, testostérone…Voici des exemples d’organes qui fabriquent des hormones et des hormones qu’ils sécrètent :l’hypophyse : ACTH, ocytocine, vasopressine…la thyroïde : thyroxine,les glandes surrénales : adrénaline, cortisone, aldostérone, DHEA…le pancréas : insuline, glucagon,le testicule : testostérone,l’ovaire : œstrogènes, progestérone…Rôles des hormones : croissance, reproduction, sommeil…Les hormones ont des rôles variés, dans :la croissance (hormone de croissance) ;l’homéostasie ;la reproduction et la gestation (hormones sexuelles) ;le sommeil (mélatonine)...Hormones et traitementsLes hormones sont aussi utilisées dans des traitements comme, par exemple :en oncologie dans le cadre des hormonothérapies, car des hormones peuvent jouer un rôle dans la croissance cellulaire ;pour traiter les troubles de la ménopause : traitement hormonal substitutif ;pour la contraception hormonale.Hormones végétalesPar extension, en biologie végétale, on utilise le terme de « phytohormone » ou « hormone végétale » pour désigner des molécules comme l’auxine, l’éthylène, qui agissent sur le développement des plantes.

Hormone

La testostérone est une hormone stéroïdienne sécrétée par les glandes sexuelles des mammifères mâles : les testicules. Les cellules fabriquant de la testostérone à partir de cholestérol sont les cellules de Leydig. Dans le sang, la testostérone peut être libre ou transportée par une protéine : la Sex Hormon Binding Globulin (SHBG).
Les femmes produisent elles aussi de la testostérone, mais en quantités moins importantes que les hommes.
La testostérone est une hormone stéroïdienne fabriquée à partir du cholestérol. © Leonid Andronov, Shutterstock
Sécrétion de testostérone et masculinisation
Pendant le développement embryonnaire, la présence de testostérone permet la différenciation des canaux de Wolff en épididyme, canal déférent et vésicule séminale. La testostérone stimule le développement des organes génitaux masculins (pénis et bourses).
Au moment de la puberté, la production de testostérone augmente ; elle stimule la gamétogenèse et entraîne l’apparition de caractères sexuels secondaires : développement de la pilosité, de la musculature, du pénis et des testicules. Des anomalies de la différenciation sexuelle peuvent être liées à un problème de sécrétion de testostérone.
La testostérone joue aussi un rôle dans le comportement sexuel mâle.

Testostérone

Le cerveau appartient au système nerveux central.
Fonction du cerveau
Situé dans la boîte crânienne, le cerveau est le siège des fonctions supérieures (fonctions cognitives, sens, réponses nerveuses) et végétatives. C’est donc un organe essentiel qui assure la régulation de toutes les fonctions vitales. Le cerveau reçoit des informations provenant de l’ensemble du corps humain via des nerfs afférents, les intègre et les analyse puis répond en émettant de nouveaux signaux qui redescendent vers les parties du corps concernées par les nerfs efférents.
Le cerveau est ainsi responsable du rythme cardiaque et respiratoire, des fonctions qui pour nous sont inconscientes. Mais il est aussi impliqué dans la prise de décision, dans la motricité du corps, le comportement, la mémoire, la conscience…
Le cerveau a été cartographié et certaines zones semblent associées à des fonctions précises (aire de la parole…), alors que les fonctions plus complexes (la mémoire, la conscience) semblent être beaucoup plus réparties.
De quoi est composé notre cerveau ? Quel est le rôle de la matière grise, encore appelée "cortex" ? De quoi est-elle constituée ? Comment les neurones gèrent-ils et traitent-ils les informations ? Qu’est-ce que la matière blanche ? Toutes les explications en vidéo. Une animation coréalisée avec L’Esprit Sorcier. © CEA Recherche
Structure du cerveau
Le cerveau humain comporte environ 100 milliards de neurones et possède un poids moyen de 1.300 à 1.400 grammes. Il contient également des cellules gliales et des astrocytes. Il baigne dans le liquide céphalo-rachidien.
Le cerveau est composé de deux hémisphères, droit et gauche, connectés entre eux par le corps calleux composé de substance blanche (axones gainés de myéline). Divisés en lobes, les hémisphères sont les parties les plus développées chez les mammifères.
Le cerveau est divisé en plusieurs parties, en fonction de leur origine embryonnaire :
le télencéphale, la partie supérieure, composé du cortex cérébral et du striatum ;le diencéphale qui contient le thalamus et l’hypothalamus (glandes endocrines) ;le mésencéphale ;le cervelet (coordination motrice et apprentissage des mouvements routiniers) ;le pont de Varole ;le bulbe rachidien (contrôle des mouvements réflexes et végétatifs : respiration, modération du rythme cardiaque, régulation des muscles lisses artériels) qui communique avec la moelle épinière.
Le cortex cérébral constitue la couche externe du cerveau et comporte la majorité des neurones (substance grise). Les méninges sont des enveloppes protectrices (dure-mère, arachnoïde et pie-mère) entre le cortex et l’os du crâne. Le cortex cérébral est subdivisé en cinq lobes cérébraux en fonction de leur position : 
le lobe frontal (motricité, mémoire, raisonnement) ;le lobe pariétal (toucher) ;le lobe temporal (ouïe, odorât) ;le lobe occipital (vision) ;le lobe limbique.
Pour tout savoir sur le cerveau, consultez notre dossier « Voyage dans le cerveau ».

Cerveau

Couche supérieure de la peau ; l'épiderme se compose de cinq couches superposées.

Épiderme

L’axone est le plus long prolongement de la cellule nerveuse (neurone). Il conduit l’influx nerveux jusqu’aux cellules cibles. On lui donne souvent le nom de fibre nerveuse. Ces dernières regroupées en faisceau forment les nerfs.L’axone : une partie de la cellule nerveuseLa cellule nerveuse ou neurone est considérée comme l’unité fonctionnelle du système nerveux. Impliquée dans la communication intercellulaire, elle a pour rôle de recevoir et de conduire des messages électriques à distance. Pour ce faire, elle est constituée d’un corps cellulaire et de prolongements qui lui permettent d’établir des contacts fonctionnels avec d'autres neurones ou avec des cellules cibles. L’information arrive au neurone par des prolongements courts appelés dendrites et quitte le neurone par un prolongement long. L’axone est ce prolongement long. Il conduit le message nerveux du corps cellulaire à la zone de transmission avec la cellule cible. Généralement unique sur le neurone, il peut atteindre 1 mètre de long. Il se termine par des ramifications organisées sous forme d’arborisation, présentant des renflements : les boutons synaptiques. L’axone est à la fois flexible et résistant. Délimité par la membrane plasmique, il est constitué de myofibrilles (anneaux d’actine) et de microtubules assurant le transfert des substances nécessaires entre le soma et les terminaisons axonales. Il prend naissance sur le corps cellulaire au niveau du cône d’émergence, point de départ de l’influx nerveux. Dans de nombreux neurones, il est entouré d’une gaine électriquement isolante, la gaine de myéline qui induit une augmentation dans la vitesse de propagation de l’influx nerveuxLe regroupement des axones en faisceau constitue un nerf © Daily-Anthony wiki cc-by-30Quelles sont les fonctions de l’axone ?L’axone permet la propagation de l’influx nerveux sous forme de potentiel d’action dans le sens corps cellulaire-cellule cible et uniquement dans ce sens. C’est grâce à la dépolarisation de sa membrane plasmique, générée par des passages d’ions entre le milieu extracellulaire et intracellulaire que se créent des courants locaux pouvant se transmettre de proche en proche tout au long de l’axone. Cette extension du neurone joue donc un rôle de « fil électrique » afin de transmettre l’information nerveuse de cellules en cellules.

Axone

2133_l-effet-des-caresses-sur-les-emotions

Des recherches sont men&eacute;es sur l'effet de la copuline, une [popupdefinition id=225]ph&eacute;romone[/popupdefinition] produite par les [popupdefinition id=2842]s&eacute;cr&eacute;tions[/popupdefinition] vaginales de la femme pendant l'[popupdefinition id=5250]ovulation[/popupdefinition], sur les hommes.Ici, un test sur des hommes &agrave; qui on fait inhaler l'[popupdefinition id=751]hormone[/popupdefinition]. M&ecirc;me si on ne sait pas encore si elle donne envie de copuler, il est certain que l'[popupdefinition id=6733]inhalation[/popupdefinition] de la copuline fait monter le taux de [popupdefinition id=2855]testost&eacute;rone[/popupdefinition] chez l'homme.Institut Ludwig Boltzmann de Vienne, 2004.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

L'effet des phéromones : la copuline

L'inhalation est l'absorption d'un gaz, d'une particule, d'une microgouttelette ou d'un pathogène par les voies respiratoires. Les voies respiratoires sont en effet une des voies de pénétration dans l'organisme. Elles peuvent être la source de certaines pathologies, mais aussi un moyen d'administration de traitements médicamenteux (inhalateur contre l'asthme, infusion de plantes, etc.).

Types et mécanismes de l'inhalation

L'inhalation peut concerner divers types de substances, chacune ayant un effet spécifique sur l'organisme. Cela inclut non seulement des gaz, mais aussi des particules fines, des aérosols et divers micro-organismes. Le processus d'inhalation dépend grandement de la nature de la substance à absorber ainsi que du mécanisme physique de l'inhalation. 

Par exemple, les particules inhalées sont généralement classées selon leur taille. Les particules de plus de 10 microns tendent à être piégées dans le nez ou la gorge, tandis que celles de moins de 10 microns peuvent atteindre les bronches et celles de moins de 2.5 microns, les alvéoles pulmonaires, où les échanges gazeux ont lieu.

Applications médicales de l'inhalation

Le recours à l'inhalation semble évident pour le traitement de maladies respiratoires comme l'asthme grâce à l'utilisation d'inhalateurs de médicaments. Ces outils délivrent des médicaments directement dans les voies respiratoires, permettant une action rapide et ciblée. Au-delà de l'asthme, d'autres traitements par inhalation sont utilisés pour la fibrose cystique ou les maladies pulmonaires obstructives chroniques (MPOC).

La technique d'inhalation est également exploitée pour l'administration d'anesthésiques en chirurgie, réduisant ainsi les risques associés aux formes intraveineuses. De même, l'inhalation de vapeurs de plantes médicinales est un traitement alternatif pour plusieurs affections, incluant les problèmes respiratoires et les infections.

Risques associés à l'inhalation

Malgré ses nombreux avantages, l'inhalation peut également présenter des risques, surtout lorsque les substances inhalées sont toxiques ou nocives. La pollution de l'air, y compris la présence de particules fines, de composés organiques volatils et d'autres polluants peuvent entrainer des maladies respiratoires sévères comme le cancer du poumon, l'asthme ou des maladies cardiovasculaires.

Il est également important de noter que les environnements de travail exposant les travailleurs à des particules et des fumées nocives nécessitent une attention particulière. Le recours à des équipements de protection individuelle (EPI) ainsi que des normes strictes sur la qualité de l'air intérieur sont essentiels pour réduire ces dangers.

Conclusion

L'inhalation est ainsi une fonction vitale qui peut aussi devenir une route d'exposition aux maladies. Elle trouve aussi son utilité dans le domaine médical pour une administration efficace et sécurisée des traitements. Cependant, la surveillance des environnements et le contrôle des substances inhalées sont cruciaux pour protéger la santé publique. En complétant notre compréhension des mécanismes et des effets de l'inhalation, nous pouvons mieux prévenir les risques associés et exploiter ses bénéfices pour le bien-être de tous.

Inhalation

L'ovulation correspond à l’étape d'expulsion d'un ovocyte par l'ovaire. Chez la femme, elle intervient environ au 14 ou 15e jour du cycle menstruel.Rôle de l’ovulationL’ovulation a pour but de libérer un ovule (ou plutôt un ovocyte puisqu’il n’a pas fini son processus de méiose) prêt à être fécondé par un spermatozoïde dans les trompes de Fallope, et à donner naissance à un embryon.Régulation hormonale de l’ovulationL’ovulation est très finement régulée par les hormones sexuelles. La FSH (l'hormone folliculo-stimulante), produite par l’hypophyse, entraîne au niveau des ovaires la croissance des follicules, dans lesquels se trouvent les ovules. Un pic de LH (hormone lutéinisante), également produite par l’hypophyse, induit l’ovulation dans les 36 à 48 heures qui suivent. La FSH participe également à l’ovulation puisqu’elle fragilise la paroi de l’ovaire, permettant à l’ovule de rejoindre les trompes de Fallope.Symptômes de l’ovulationLe moment de l’ovulation peut être repéré par l’établissement d’une courbe de température corporelle. De plus, la glaire cervicale (mucus qui protège le vagin des infections) change également d’aspect, pour permettre au sperme d'atteindre plus facilement les trompes. Il est possible de le recueillir au niveau du col utérin et d’analyser sa consistance. S’il est clair et peut être étiré entre deux doigts sans rompre, cela signale la période d’ovulation. Des tests d'ovulation existent aussi en vente dans les pharmacies.Suivre sa courbe de température corporelle ou faire un test d'ovulation permet de connaître la date la plus propice à une fécondation. © Fizkes, Adobe StockOvulation et grossesse chez la femmeSi vous avez le projet d’avoir un enfant, connaître sa date d’ovulation est important pour optimiser ses chances de grossesse. Pour un cycle normal, soit 28 jours, l’ovulation intervient le plus souvent le 14e jour ; pour un cycle court, de 24 jours, ce sera le 10e jour. Toutefois, le jour de l’ovulation peut varier d’une femme à l’autre et même d’un cycle à un autre. Ovulation et ménopauseÀ la ménopause, vers 50 ans, l’activité des ovaires s’arrête, il n’y a plus d’ovulation, plus de règles, la femme devient inféconde, elle ne peut plus avoir d’enfant. Cependant, elle peut continuer à avoir une vie sexuelle normale.

Ovulation

Les phéromones sont une substance chimique ou mélange de substances produites par des glandes exocrines déclenchant des réactions physiologiques ou comportementales entre individus de la même espèce.
Les différents types de phéromones
Les phéromones, signaux chimiques odorants agissant à grande distance à dose moléculaire, sont un moyen de communication chez les insectes. On en a reconnu plusieurs types : 
phéromones sexuelles,phéromones de piste,phéromones épidéictiques ou d'espacement,phéromones grégaires,phéromones d'alarme,phéromones de régulation sociale, etc.
Certaines donnent lieu à des comportements particuliers comme la cycloalexie (défense en cercle) observée entre autres chez les Chrysomélidés.
Ce sont les premières qui ont été les mieux étudiées, conduisant à des applications pratiques en agriculture. On emploie alors des « pièges à phéromones » composés d'un attractif, un analogue de synthèse de la phéromone naturelle de la femelle du ravageur, et d'un système assurant la capture des mâles. Ils sont actuellement utilisés dans la lutte contre certains Lépidoptères, soit pour l'avertissement agricole, soit pour la confusion sexuelle.
Les chimiorécepteurs sont essentiellement les antennes garnies d'organes sensoriels ou sensilles.

Phéromone

Production d'une substance spécifique par un tissu ou une glande qui la déverse dans le sang, dans un autre organe ou à l'extérieur du corps ; l'organisme sécrète par exemple salive, hormones, suc gastrique ou lait.

Mécanismes de sécrétion dans le corps humain
La sécrétion est un processus biologique essentiel qui permet aux cellules et aux glandes de libérer des substances chimiques pour remplir diverses fonctions vitales. Ce processus peut être classifié en deux grandes catégories : endocrine et exocrine.

Sécrétion endocrine
La sécrétion endocrine implique la libération de substances directement dans le système sanguin. Les glandes endocrines, telles que la thyroïde, les glandes surrénales ou l'hypophyse, produisent des hormones qui régulent de nombreuses fonctions du corps, y compris la croissance, le métabolisme et la fonction sexuelle. Par exemple, l'insuline sécrétée par les îlots de Langerhans dans le pancréas régule les niveaux de glucose dans le sang.

Sécrétion exocrine
En contraste, la sécrétion exocrine implique des substances déversées via des conduits vers des surfaces internes ou externes du corps. Les glandes salivaires expulsent la salive dans la cavité buccale tandis que les glandes sudoripares déversent la sueur sur la surface de la peau. Les glandes gastriques sécrètent le suc gastrique nécessaire à la digestion dans l'estomac.

Facteurs contrôlant la sécrétion
La sécrétion des hormones et d'autres substances est finement régulée par le corps. Elle peut être influencée par des signaux hormonaux, nerveux, ou même chimiques. Par exemple, la libération de suc gastrique est stimulée par des signaux nerveux lorsque l'on mange, et la sécrétion de certaines hormones peut être influencée par des changements dans les niveaux de nutriments dans le sang.

Rôle de la sécrétion dans la santé et la maladie
Une sécrétion correctement régulée est vitale pour maintenir l'homéostasie du corps et faciliter les processus tels que la digestion, la reproduction et le métabolisme. Toutefois, un déséquilibre dans la sécrétion peut conduire à diverses maladies. Par exemple, une production insuffisante d'insuline par le pancréas peut mener au diabète de type 1, tandis qu'une sécrétion excessive d'hormone de croissance peut causer l'acromégalie.

Surveiller et comprendre les patterns de sécrétion peut ainsi permettre de diagnostiquer et traiter diverses conditions médicales. Des tests comme les mesures de niveaux hormonaux ou les analyses de sang peuvent donner des indications cruciales sur les sécrétions internes du corps.

Technologies et avancées dans l'étude des sécrétions
Grâce à la technologie moderne et à l'avancement de la science médicale, les chercheurs peuvent désormais étudier en détail les processus de sécrétion. Des techniques comme l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et les biopsies permettent d'étudier les glandes et les tissus pour mieux comprendre comment les maladies affectent la sécrétion des substances nécessaires au bon fonctionnement organique.

La sécrétion est un processus biologique complexe et essentiel au bien-être. Comprendre son rôle et ses mécanismes permet non seulement d'entrevoir les fonctions basiques de l'organisme humain, mais aussi d'aborder des pathologies variées avec des stratégies diagnostiques et thérapeutiques plus efficaces.

Sécrétion

2134_l-effet-des-pheromones-:-la-copuline

Des recherches permettent d'en savoir plus sur l'effet de la copuline, une [popupdefinition id=225]ph&eacute;romone[/popupdefinition] produite par les [popupdefinition id=2842]s&eacute;cr&eacute;tions[/popupdefinition] vaginales de la femme pendant l'[popupdefinition id=5250]ovulation[/popupdefinition], sur les hommes.Ici, un test sur des hommes &agrave; qui on fait inhaler l'[popupdefinition id=751]hormone[/popupdefinition]. M&ecirc;me si on ne sait pas encore si elle donne envie de copuler, il est certain que l'[popupdefinition id=6733]inhalation[/popupdefinition] de la copuline fait monter le taux de [popupdefinition id=2855]testost&eacute;rone[/popupdefinition] chez l'homme.Institut Ludwig Boltzmann de Vienne, 2004.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Étude des effets des phéromones

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Une image 3D du [popupdefinition id=6140]clitoris[/popupdefinition]. Avec les pr&eacute;liminaires, l'[popupdefinition id=4133]hypothalamus[/popupdefinition] s&eacute;cr&egrave;te des neurohormones qui vont exciter l'[popupdefinition id=2720]hypophyse[/popupdefinition] qui, &agrave; son tour, vont lib&eacute;rer des [popupdefinition id=751]hormones[/popupdefinition] stimulant les [popupdefinition id=4134]ovaires[/popupdefinition] et les [popupdefinition id=6143]testicules[/popupdefinition]. S'ensuit une [popupdefinition id=4078]r&eacute;action en cha&icirc;ne[/popupdefinition] : les testicules et les ovaires vont &eacute;galement &eacute;mettre leurs propres hormones : les [popupdefinition id=2855]testost&eacute;rones[/popupdefinition] et les [popupdefinition id=2786]&oelig;strog&egrave;nes[/popupdefinition]. Sous leur action, l'afflux de sang est d&eacute;clench&eacute;. L'&eacute;rection de l'organe f&eacute;minin a lieu lorsque les bulbes se gonflent sous la [popupdefinition id=17466]pression[/popupdefinition] sanguine et favorisent les sensations autour de l'[popupdefinition id=2869]ur&egrave;tre[/popupdefinition] et du [popupdefinition id=6141]vagin[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Image 3D du clitoris

L'urètre est un canal qui transporte l'urine de la vessie vers l'extérieur du corps. Il est situé dans la partie inférieure de l'appareil urinaire et est différent chez les hommes et les femmes au niveau de la longueur et de la structure. Il joue un rôle clé dans le système urinaire.Anatomie de l'urètreChez la femmeL'urètre est relativement court, mesurant environ 3 à 4 centimètres de long. Il est situé dans la vulve, entre le clitoris et le vagin. L'orifice urétral externe, appelé le méat urinaire, est situé entre les petites lèvres. L'urètre féminin est entouré de muscles qui aident à contrôler la miction, il est beaucoup plus court que l'urètre masculin, ce qui rend les femmes plus vulnérables aux infections urinaires.Chez la femme, l'urètre est divisé en deux parties : l'urètre proximal qui est la partie située près de la vessie et qui est entourée de muscles lisses aidant à contrôler la miction ; et l'urètre distal qui est la partie située près de l'orifice urétral externe et qui est entourée de muscles striés aidant également à contrôler la miction.Chez l'hommeL'urètre est beaucoup plus long, mesurant environ 20 centimètres de long. Il traverse le pénis et s'ouvre à l'extrémité du gland. L'orifice urétral externe est situé au bout du pénis, au niveau du méat urinaire. L'urètre masculin a deux fonctions : il permet l'évacuation de l'urine et le passage du sperme lors de l'éjaculation. L'urètre masculin a une fonction reproductive supplémentaire, ce qui n'est pas le cas chez les femmes. Il est divisé en quatre parties : l'urètre prostatique : cette partie traverse la prostate et est entourée de muscles lisses qui aident à contrôler la miction et l'éjaculation ;l'urètre membraneux : cette partie est la plus étroite de l'urètre et traverse le plancher pelvien. Elle est entourée de muscles striés qui aident à contrôler la miction ;l'urètre bulbaire : cette partie est située dans le bulbe du pénis et est entourée de muscles striés qui aident à contrôler la miction ;l'urètre spongieux : cette partie traverse le corps spongieux du pénis et s'étend jusqu'à l'extrémité du gland. Également entourée de tissu érectile qui aide à maintenir l'érection pendant la miction et l'éjaculation.L'urètre transporte l'urine de la vessie vers l'extérieur du corps. Cette image montre (a) un urètre féminin et (b) un urètre masculin. © Collège OpenStax, Wikimedia Commons, CC PAR 3.0 Quels sont les problèmes médicaux de l'urètre ? L'urètre peut être affecté par divers problèmes médicaux, notamment :les infections urinaires : les infections bactériennes peuvent affecter l'urètre, provoquant des symptômes tels que des brûlures, des douleurs et une sensation de pression lors de la miction ;l'inflammation : l'urètre peut s'enflammer en raison d'une infection, d'une irritation ou d'une blessure, provoquant des symptômes similaires à ceux d'une infection urinaire ;un rétrécissement urétral : le rétrécissement de l'urètre peut être causé par une inflammation, une blessure ou une intervention chirurgicale, ce qui peut entraîner des difficultés à uriner et une rétention urinaire ;les calculs urinaires : les calculs urinaires peuvent se loger dans l'urètre, provoquant des douleurs et des difficultés à uriner ;les tumeurs : les tumeurs bénignes ou malignes peuvent se développer dans l'urètre, provoquant des symptômes tels que des saignements, des douleurs et des difficultés à uriner ;les traumatismes : les blessures à l'urètre peuvent être causées par des accidents, des chutes ou des agressions sexuelles, entraînant des douleurs, des saignements et des difficultés à uriner ;les dysfonctionnement urétral : chez les hommes, le dysfonctionnement urétral peut être causé par des problèmes de prostate ou de muscles du plancher pelvien, entraînant des difficultés à uriner et une incontinence urinaire. L'urètre fait suite à la vessie et amène l'urine vers le méat urinaire. © www.aupetitcoin.caLes fuites urinaires et l'urètre Les fuites urinaires peuvent être causées par divers facteurs, notamment des problèmes avec l'urètre. Toute altération de sa fonction peut entraîner des fuites urinaires.Chez les femmes, les fuites urinaires peuvent être causées par une faiblesse des muscles du plancher pelvien, qui soutiennent l'urètre et d'autres organes pelviens. Cette faiblesse peut être due à l'accouchement, à la ménopause, à l'âge ou à d'autres facteurs. Les fuites urinaires peuvent également être causées par une inflammation ou une infection de l'urètre, appelée urétrite.Chez les hommes, les fuites urinaires peuvent être causées par une obstruction de l'urètre, telle qu'une hypertrophie de la prostate ou une sténose urétrale (rétrécissement de l'urètre). Les fuites urinaires peuvent également être causées par une faiblesse des muscles du plancher pelvien, bien que cela soit moins fréquent que chez les femmes.Examens médicaux de l'urètre L'examen de l'urètre est appelé urétroscopie. L'urétroscopie est une procédure médicale qui consiste à insérer un petit tube rigide ou flexible (appelé urétroscope) dans l'urètre pour examiner l'intérieur de l'urètre et du canal urinaire. La fonction de l'urétroscopie est de diagnostiquer et de traiter les problèmes urétraux tels que les rétrécissements urétraux, les calculs urinaires, les tumeurs et les infections. Elle peut également être utilisée pour prélever des échantillons de tissus pour une biopsie ou pour administrer des médicaments directement dans l'urètre.L'urétroscopie peut être réalisée sous anesthésie locale ou générale, en fonction de la complexité de la procédure et de la préférence du patient. La procédure est généralement rapide et bien tolérée, mais peut entraîner des effets secondaires temporaires tels que des douleurs, des saignements et des difficultés à uriner. L'urétroscopie est utilisée pour examiner l'urètre, tandis que la cystoscopie est utilisée pour examiner la vessie.

Urètre

Pour le physicien, le terme pression renvoie à une force — qui se mesure en newton (N) — exercée sur une surface donnée — mesurée en mètres carrés (m2). Dans le système international et depuis 1971, l’unité de mesure de la pression est le pascal (Pa). Ainsi une pression de 1 Pa correspond à une force de 1 N qui s’exerce sur une surface de 1 min 2 s. Le pascal est donc une unité de mesure caractéristique d’une faible pression.
De fait, d’autres unités de mesure de la pression plus appropriées peuvent être employées. Le bar (bar) notamment qui correspond à 105 Pa. Ou encore l’atmosphère (atm) qui équivaut à 101.325 Pa. Voire même le millimètre de mercure (mmHg) qui vaut 133 Pa.
La pression se mesure à l’aide d’un manomètre. Le plus ancien reposait sur la variation de hauteur d’une colonne de liquide sous la pression. Il a été inventé en 1643 par Evangelista Torricelli. Aujourd’hui, on parle plus de capteurs de pression ou de sondes de pression qui exploitent par exemple des variations de résistance ou de capacité électrique.
Une mesure de pression peut aussi bien être absolue que relative. Il existe alors une valeur de référence qui est généralement la pression normale correspondant par convention à 1 atm.
Au cœur du Soleil, la pression est de l'ordre de 1016 Pa ! © Pexels, Pixabay, CC0 Creative Commons
Le résultat des mouvements moléculaires
D’un point de vue microscopique, la pression est en fait le résultat de l’agitation incessante des atomes et des molécules et de leurs collisions, entre elles ou sur des obstacles. Le résultat d’un transfert de quantité de mouvement dans un gaz ou un liquide et ses effets sur des parois, réelles ou virtuelles. La pression s’exerce naturellement dans toutes les directions. Dans un gaz, elle augmente lorsque la vitesse à laquelle se déplacent les particules augmente. Lorsque la température du gaz augmente donc. Idem lorsque la masse volumique augmente puisqu’alors les collisions sont plus nombreuses.
Parmi les pressions les plus connues, remarquons celle que l’on appelle la pression atmosphérique. C’est la pression exercée par l’air contenu dans notre atmosphère. Sa valeur moyenne au niveau de la mer est de 101.325 Pa soit 1 atm et environ 1 bar. Notons qu’une pression atmosphérique élevée est synonyme de temps calme. En revanche lorsque la pression atmosphérique baisse, le temps tourne généralement à la pluie.

Pression

Le vagin est un organe interne de l'appareil reproducteur féminin. C’est un conduit musculaire extensible et élastique, situé entre la vulve et le col de l'utérus. Mesurant environ 8 à 12 centimètres de long chez une femme adulte, sa taille et sa forme peuvent varier d'une personne à l'autre ; il s’élargit pendant l’acte sexuel et l’accouchement.Anatomie du vaginPositionné dans le bassin, le vagin est situé entre la vessie et le rectum, reliant l’utérus à la vulve (qui regroupe les organes externes tels que les lèvres, le clitoris). À l'entrée du vagin, se trouve l’hymen, une fine membrane élastique qui délimite sa frontière avec la vulve mais qui permet l'écoulement des fluides menstruels. L'hymen se rompt partiellement ou totalement lors des premiers rapports sexuels. Le vagin est entouré par différents muscles et tissus de soutien. Le col de l'utérus, situé à l'extrémité supérieure du vagin, marque la frontière entre ces deux organes. Les parois vaginales sont en contact avec la vessie antérieurement et le rectum postérieurement.Structure du vaginLe vagin est composé de trois couches principales : la muqueuse, la couche musculaire et la couche externe. La muqueuse vaginale, également appelée tunique muqueuse, tapisse l'intérieur du vagin. Cette muqueuse est composée d'un épithélium stratifié pavimenteux non kératinisé, formé de plusieurs couches de cellules. Ces cellules sont continuellement renouvelées, assurant une barrière protectrice. La muqueuse contient des glandes sécrétoires qui produisent des fluides pour maintenir l'humidité et la lubrification.La couche musculaire du vagin est formée de muscles lisses disposés en trois plans, qui permettent la contraction et l'expansion du vagin, jouant un rôle clé dans les fonctions sexuelles et reproductrices. Les contractions musculaires peuvent également être impliquées dans le plaisir sexuel et les orgasmes.La couche externe, appelée adventice, est formée de tissu conjonctif et de fibres musculaires striées. Elle assure le soutien structurel du vagin et est connectée aux tissus environnants, y compris les ligaments et les muscles pelviens. Position du vagin dans l'appareil génital féminin. Crédits DRRôle et fonctionnement du vaginLe vagin participe aux fonctions de reproduction. Il facilite la pénétration du pénis lors de la relation sexuelle grâce à la lubrification (sécrétion de cyprine) par les muqueuses de la paroi, ainsi que l’accès des spermatozoïdes à l’utérus. Il donnera finalement le passage au bébé lors de l’accouchement. Le vagin est le canal de sortie pour l'écoulement des règles et des autres sécrétions vaginales.Reproduction : lors des rapports sexuels, le vagin agit comme un conduit pour le pénis et permet le dépôt de spermatozoïdes dans le col de l'utérus. Les sécrétions cervicales facilitent le mouvement des spermatozoïdes à travers le col. Hormonal : les hormones sexuelles — les œstrogènes produits principalement par les ovaires — influent sur l'épaisseur de la muqueuse vaginale, la lubrification et l'élasticité. La sécrétion hormonale varie au cours du cycle menstruel et durant la grossesse.Accouchement : lors de l'accouchement, le vagin subit une dilatation considérable pour permettre le passage du bébé. Les contractions utérines associées à la descente du fœtus entraînent l'effacement et l'ouverture du col de l'utérus.Rapport sexuel : certaines parties du vagin, lequel est richement vascularisé et innervé, sont particulièrement sensibles et peuvent contribuer au plaisir sexuel. La lubrification du vagin facilite la pénétration. Les muscles vaginaux, en particulier le muscle élévateur de l'anus, sont impliqués dans le plaisir et l'orgasme. La paroi antérieure du vagin, connue sous le nom de point G, est souvent considérée comme une zone érogène. La stimulation de cette zone provoque des sensations orgasmiques.Le microbiote du vagin Le microbiote vaginal est composé principalement de bactéries lactobacilles qui maintiennent l'équilibre acido-basique du vagin, permettant de combattre les agressions extérieures. Le vagin est donc « autonettoyant » grâce à la production de sécrétions, appelées leucorrhées, qui sont composées de cellules mortes, de bactéries et de fluides cervicaux. Elles contribuent à éliminer les cellules mortes et les agents pathogènes potentiels, maintenant ainsi un environnement sain. La toilette intime du vagin implique un nettoyage externe délicat avec de l'eau et un savon doux. Les douches vaginales ne sont généralement pas recommandées, car elles peuvent perturber l'équilibre de la flore bactérienne normale, augmentant le risque d'infections.Les pathologies associéesInfections : infections fongiques, bactériennes ou virales peuvent affecter le vagin : la candidose (mycose), la vaginose bactérienne, l'herpès génital.Le vaginisme : contractions involontaires des muscles vaginaux, rendant les rapports sexuels douloureux ou impossibles.Prolapsus : le prolapsus vaginal peut survenir lorsque les muscles et les tissus de soutien du plancher pelvien s'affaiblissent, entraînant une descente d'organes tels que la vessie, l'utérus ou le rectum dans le vagin. Les facteurs tels que la grossesse, l'accouchement et la chute hormonale due à la ménopause peuvent contribuer au prolapsus vaginal, affectant la qualité de vie et nécessitant parfois une intervention chirurgicale.

Vagin

Hormone sexuelle. Les œstrogènes, ou estrogènes, sont des stéroïdes sécrétés par les ovaires, le placenta, le cortex surrénal et les testicules. Ils interviennent, lors de la puberté, dans l'apparition des caractères sexuels féminins secondaires, et par la suite dans le cycle menstruel (le maximum de production correspondant à l'ovulation cf. progestérone) ainsi que dans divers métabolismes. 
Les œstrogènes sont utilisés en contraception, en cancérologie et pour l'activation de la production maternelle de lait.
Historique des œstrogènes
L'existence des œstrogènes est connue depuis la fin du XIXe siècle. Butenandt découvrit l'oestrone. Depuis peu, on connaît des phyto-œstrogènes, d'origine végétale, qui pourraient mimer l'action des œstrogènes.Champ lexical : estrogène | ŒstrogèneChamp lexical : estrogène | Œstrogène

Réaction complexe au cours de laquelle un ou plusieurs intermédiaires réactionnels, qui sont souvent des radicaux, sont continuellement régénérés par la répétition d'un cycle d'étapes élémentaires, dites « étapes de propagation ».
Note : La réaction comporte également une étape initiale, dite « d'amorçage », et une étape finale, dite « de terminaison ».

Réaction en chaîne

Les testicules appartiennent au système reproducteur masculin.
Fonction des testicules
Les testicules sont des glandes qui produisent la testostérone, la principale hormone masculine responsable du développement des organes génitaux. Sa production, au commencement de la puberté, provoque les changements destinés à transformer le garçon en homme, en déterminant l’apparition des caractères sexuels mâles secondaires.
Les testicules sont également le lieu de la spermatogenèse (fabrication des spermatozoïdes) qui commence à la puberté et continue pendant toute la vie de l’homme. On voit donc que si les filles naissent avec toute leur réserve d’ovules, les hommes ne commencent à fabriquer des spermatozoïdes qu’à la puberté. Toujours à la différence d’une femme, l’homme renouvelle, toute sa vie durant, sa réserve de cellules reproductrices ou gamètes.
À partir de la puberté, les testicules produisent en permanence de nouveaux spermatozoïdes. ces derniers voyagent à partir des testicules à travers le canal déférent, sorte de tube situé à l’intérieur du pénis, où ils se mélangent à un liquide produit par la prostate et les glandes séminales. Ce mélange de liquide et de spermatozoïdes est appelé « sperme ». Le sperme, émis par le pénis lorsqu’un homme éjacule, est expulsé par l’urètre, qui est le canal qui conduit l’urine du rein à la vessie. Chaque goutte de sperme contient des dizaines de milliers de spermatozoïdes de taille microscopique. Un seul spermatozoïde atteint l’utérus et féconde l’ovule.
Structure des testicules
Les testicules, au nombre de deux, sont situés en annexe de la verge, à l’extérieur de la cavité pelvienne dans une poche entourée d’une peau plissée appelée "scrotum". Ils sont directement entourés d’un tissu conjonctif solide et protecteur appelé "albuginée". Le fait que les testicules soient à l’extérieur du corps diminue leur température d’environ 2°C par rapport à la température corporelle.
Bien qu’ils aient une taille variable selon les individus, les testicules mesurent en moyenne 3x2x5 centimètres, pour un poids d’environ 18 grammes.
Les testicules sont divisés en plusieurs lobules testiculaires qui contiennent les tubes séminifères, lieu de la spermatogenèse. Les spermatozoïdes arrivent finalement dans le canal de l’épididyme où ils finissent leur maturation, puis jusqu’au canal déférent, relié à la prostate.

Testicule

Les ovaires font partie du système reproducteur féminin. Ils sont les gonades femelles et sont donc le lieu de production des gamètes femelles.
Fonction des ovaires
Les ovaires contiennent des follicules (400.000 chez la femme) formés dès la naissance. Après la puberté, un follicule devient mature à chaque cycle menstruel. Le quatorzième jour du cycle en moyenne, ce follicule de De Graaf libère un ovocyte fécondable qui migre vers l'utérus. Le follicule ovarien se transforme alors en corps jaune (corpus luteum) pendant la seconde partie du cycle ovarien. Si la fécondation n’a pas lieu, il dégénère.
Les ovaires sont également des glandes qui produisent les hormones sexuelles féminines. La fonction endocrine ovarienne est dévolue aux cellules folliculaires qui entourent l'ovocyte au cours de son développement et à partir desquelles se formera le corps jaune. Comme la formation des gamètes, la fonction endocrine de l'ovaire est cyclique : la sécrétion des hormones ovariennes s'effectue selon un rythme qui se superpose au cycle utérin.
L'ovaire est le lieu de formation des cellules reproductrices femelles. © DR
L'ovaire sécrète quatre groupes d'hormones : 
les œstrogènes ;la progestérone ;une petite quantité d'androgènes ;le groupe des inhibines et cybernines.
Structure des ovaires
Il y a deux ovaires, un de chaque côté du bassin, reliés à l'utérus par les trompes de Fallope. Chacun d'entre eux pèse environ 10 g et possède une forme en amande (1 x 0,5 x 0,1 cm). Les ovaires sont fixés grâce à des ligaments qui les relient à l'utérus ou au péritoine.
La région externe de l'ovaire est appelée cortex, alors que la région interne, qui est très vascularisée et innervée, est nommée médullaire.

Ovaire

L’hypophyse appartient au système nerveux central.
Fonction de l’hypophyse
L’hypophyse est une glande endocrine située dans le cerveau, qui répond aux stimuli de l’hypothalamus en synthétisant à son tour des hormones spécifiques, qui sont libérées dans le sang :
l'hormone corticotrope (ACTH) ;la thyréostimuline (TSH), qui stimule la sécrétion d'hormones thyroïdiennes ;la somatotropine (GH) qui stimule la croissance cellulaire ;la prolactine (LTH), qui stimule la synthèse du lait ;les hormones gonadotropes (sexuelles), l’hormone lutéinisante (LH) et l’hormone folliculo-stimulante (FSH) ;des endorphines, molécules du bien-être ;la mélanocortine (MSH) qui stimule la production de mélanine.
Structure de l’hypophyse
L’hypophyse est une glande de la taille d’un pois et pesant 0,5 gramme, reliée à l’hypothalamus par une tige appelée tige pituitaire. L'hypophyse est divisée en deux lobes : 
l'anté-hypophyse (adénohypophyse) en avant ;la post-hypophyse (neurohypophyse) en arrière.
La post-hypophyse est une projection de l’hypothalamus, qui stocke et libère l’ocytocine et la vasopressine.
Ce sont des types cellulaires différents qui synthétisent chacune des hormones.

Hypophyse

Le clitoris fait partie des organes sexuels féminins.
Fonction du clitoris
Le clitoris est un organe de petite taille fait de tissus érectiles et qui joue un rôle important dans le plaisir sexuel de la femme. 
Le clitoris répond à l’excitation en se remplissant de sang, en se redressant et en durcissant, à l'image du pénis chez l'homme. Le capuchon qui recouvre la tige du clitoris est relié aux petites lèvres qui sont situées de part et d’autre de celui-ci et entourent l’ouverture vaginale. Durant l’excitation sexuelle, les petites lèvres se gonflent également grâce à leurs tissus érectiles.
Structure du clitoris
Sa longueur varie de 5 à 25 millimètres, selon les femmes. Le clitoris est composé d’une petite tige et d’un capuchon placé à son extrémité où se situe le gland, qui ressemble à une petite boule. Le tissu du clitoris, comme celui du pénis, est richement innervé, c’est-à-dire qu’il est formé par un important réseau de nerfs, et érectile.

Clitoris

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Seule technique permettant, &agrave; l'&eacute;chelle de l'infiniment petit, de restituer en [popupdefinition id=15919]volume[/popupdefinition] les deux cellules du corps humain les plus extr&ecirc;mes par leur taille. La plus grande, l'[popupdefinition id=4492]ovocyte[/popupdefinition], mesure pr&egrave;s de 100 [popupdefinition id=5146]microns[/popupdefinition] (soit l'&eacute;paisseur d'un cheveu) et le microscopique [popupdefinition id=258]spermatozo&iuml;de[/popupdefinition] seulement 3 microns.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le spermatozoïde et l'ovule en microscopie électronique

Un micromètre, de symbole µm, vaut 10-6 m soit 0, 000 001 mètre. L'utilisation du mot micron a été retirée du Système Internationale en 1968.

Micron

L’ovocyte est une cellule de la lignée germinale, présente chez les mammifères femelles, qui subit la méiose. 
Chez l’embryon femelle, l’ovogenèse qui a lieu dans les ovaires commence par des divisions des cellules germinales. Celles-ci donnent des ovogonies diploïdes qui deviennent des ovocytes I. Ces ovocytes restent bloqués à ce stade jusqu’à la puberté chez la femme.
À la naissance, le bébé fille possède déjà tout son stock d’ovocytes. Puis, à partir de la puberté, à chaque cycle, un ovocyte I subit la première division de méiose. 
Les divisions méiotiques subies par l’ovocyte
Les divisions de méiose qui touchent l’ovocyte ont pour particularité d’être inégales : le cytoplasme est réparti essentiellement dans une grosse cellule au détriment de cellules plus petites appelées globules polaires. Les ovocytes de premier ordre subissent la méiose, qui comprend deux divisions :
La première division sépare les chromosomes homologues et produit un globule polaire et un ovocyte II bien plus gros. Ces deux cellules ne possèdent qu’un jeu de chromosomes : elles sont haploïdes. L’ovocyte II est libéré au moment de l’ovulation, mais il n’a pas fini sa maturation.La seconde division est stimulée par la fécondation chez l’humain. L’ovocyte non fécondé a un métabolisme très lent. Il est activé par l’entrée du spermatozoïde. Chaque chromosome à deux chromatides se coupe en deux. L’ovocyte II donne un second globule polaire et un ovule. Ensuite, les noyaux du spermatozoïde et de l’ovule fusionnent pour former le noyau diploïde du zygote.
Dans le cadre d'une fécondation in vitro, après une stimulation ovarienne, des ovocytes peuvent être prélevés pour effectuer la fécondation en dehors de l'organisme.

Ovocyte

Pour le physicien, le volume représente l'espace occupé par un corps, quel que soit son état, solide, liquide ou gazeux. Les solides et les liquides disposent d'ailleurs d'un volume propre, contrairement aux gaz. Dans le système international, l'unité de volume est le mètre cube (m³). Toutefois, le litre reste largement employé, lorsqu'il s'agit de parler du volume d'un liquide notamment.
Le volume est une grandeur que l'on qualifie de grandeur extensive. Le volume d'un corps est proportionnel à la quantité de matière que ce corps contient.

Les méthodes de mesure du volume
Pour mesurer le volume d'un liquide, par exemple, on peut le verser dans une éprouvette graduée et lire l'indication qui correspond au bas du ménisque formé par la surface libre du liquide.
Pour mesurer le volume d'un solide, on peut le plonger dans un liquide. Une lecture de la hauteur du liquide, avant et après, permet de déduire le volume du solide. Le volume d'un solide peut être calculé mathématiquement, s'il s'agit d'un solide de forme régulière. Ainsi, le volume d'un cube est donné par la formule suivante : V = c³; celui d'un parallélépipède rectangle, par la formule : V = L x l x h.

Les instruments de laboratoire pour mesurer le volume
Pour mesurer un volume, l'un des outils les plus couramment utilisés est l'éprouvette graduée. Cette verrerie de laboratoire présente des marques de graduation le long de son corps transparent, ce qui permet de quantifier avec précision le volume d'un liquide. En remplissant l'éprouvette jusqu'à un certain niveau et en lisant la mesure à la hauteur du liquide, il est possible d'obtenir une estimation précise du volume occupé. L'éprouvette est largement utilisée dans divers domaines tels que la chimie, la biologie, la pharmacie et l'industrie alimentaire pour des mesures précises de volumes liquides.
Le cylindre gradué, un autre instrument pour mesurer le volume, est également fréquemment employé. Cet instrument de mesure présente des marques de graduation le long de sa paroi, permettant ainsi de quantifier le volume d'un liquide ou d'un solide granulaire. En remplissant le cylindre jusqu'à un certain niveau et en relevant la mesure à la hauteur du liquide ou des particules solides, il est possible d'estimer avec précision le volume occupé.

Enfin, l'application pratique de la mesure du volume s'étend au-delà des laboratoires et touche des aspects cruciaux tels que le dosage en pharmacie, le contrôle qualité dans l'industrie alimentaire, et l'administration précise de fluides en médecine. Ces cas illustrent bien comment une compréhension approfondie du volume et de ses méthodes de mesure est essentielle dans de nombreux champs de la science et de l'industrie.

Volume

Un spermatozoïde est un gamète mâle, développé par les testicules.
Structure du spermatozoïde
Le spermatozoïde est une petite cellule (5 micromètres de diamètre), bien plus petite que l’ovule, mais pourvue d’une queue mobile (un flagelle) de 60 micromètres de long. Pour être léger et mobile, afin d’atteindre rapidement l’ovule, le spermatozoïde gagne de la place en réduisant au minimum son cytoplasme et en compactant son ADN. Se tête est couverte de l’acrosome, une poche pleine d’enzymes qui serviront à percer la membrane de l’ovule.
C’est une cellule haploïde car elle contient la moitié du matériel génétique de l’individu, perdu au moment de la méiose lors du processus de spermatogenèse que subissent les cellules germinales primordiales dans les tubes séminifères des testicules.
Fonction du spermatozoïde
Le spermatozoïde contribue à donner la moitié du patrimoine génétique du futur embryon. Étant donné que le spermatozoïde est un gamète produit par un individu de sexe masculin, son chromosome sexuel peut être X ou Y et détermine alors le sexe de l’embryon (alors que l’ovule contient toujours un X).
Le spermatozoïde nage grâce à son flagelle depuis le vagin où il est expulsé par le testicule, jusqu’aux trompes de Fallope où il rencontrera l’ovule. Un seul spermatozoïde peut féconder un ovule, grâce aux réactions mises en place au cours de la fécondation.

Spermatozoïde

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Thierry Berrod et Daniel Bultreys aux manettes du [popupdefinition id=7779]microscope &eacute;lectronique[/popupdefinition] environnemental. Plusieurs semaines de travail ont &eacute;t&eacute; n&eacute;cessaires pour obtenir une splendide image d'[popupdefinition id=4492]ovocyte[/popupdefinition] f&eacute;cond&eacute;.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Un spermatozoïde au microscope - Photos Futura

Le terme Lisa peut désigner un instrument d'astronomie et un ancien ordinateur d'Apple.
Lisa en astronomie
Le Lisa, pour Laser interferometer space antenna, est un projet d'expérience conjointe Esa-Na...

L’ovocyte est une cellule de la lignée germinale, présente chez les mammifères femelles, qui subit la méiose. 
Chez l’embryon femelle, l’ovogenèse qui a lieu dans les ovaires commence par des divisio...

Le microscope électronique utilise le même principe de lentilles et de faisceaux qu’un microscope optique.Caractéristiques du microscope électroniqueCe qui varie, c’est que le microscope électronique ...

Microscope électronique

Un spermatozoïde au microscope

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L'[popupdefinition id=4492]ovocyte[/popupdefinition] mesure pr&egrave;s de 100 [popupdefinition id=5146]microns[/popupdefinition], soit l'&eacute;paisseur d'un cheveu, et son microscopique [popupdefinition id=258]spermatozo&iuml;de[/popupdefinition] mesure seulement 3 microns.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Spermatozoïdes et ovocyte

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Le [popupdefinition id=2422]tubercule[/popupdefinition] g&eacute;nital, avant la douzi&egrave;me semaine de [popupdefinition id=3443]grossesse[/popupdefinition], ne permet pas de d&eacute;terminer le sexe du [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition]. &Agrave; la douzi&egrave;me semaine, la transformation se fait : si c'est une fille, le gland devient [popupdefinition id=6140]clitoris[/popupdefinition] et la fente de l'appendice se creuse pour laisser na&icirc;tre les l&egrave;vres. Chez le gar&ccedil;on appara&icirc;t le [popupdefinition id=6142]p&eacute;nis[/popupdefinition], suivi deux semaines plus tard par le gland et le pr&eacute;puce. Il arrive alors que se produisent des &eacute;rections. Ici, on peut voir la formation du p&eacute;nis.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le tubercule génital se transforme en pénis

Un tubercule est une excroissance située sur une racine, un rhizome ou une tige où s’accumulent les réserves nutritives d’une plante. Il lui permet ainsi de passer la période hivernale ou les périodes sèches en l’absence de feuilles. Chez certaines espèces, le tubercule assure aussi une fonction de reproduction asexuée grâce aux bourgeons ou caïeux qui puisent leur nourriture dans le tubercule jusqu’à ce que les racines et les feuilles se forment. C’est par exemple le cas des crocosmias, des cyclamens ou des glaïeuls.Les tubercules peuvent pousser à partir de différents organes de la plante : de la racine (on parle de tubercule par extension bien qu’il s’agisse en réalité de réalité de racines tubéreuses épaissies), de la partie souterraine de la tige (stolon ou rhizome), de la base de la tige (hypocotyle) ou encore de l'ensemble racine et hypocotyle.Des tubercules de dahlia. © F. D. Richards, FlickrLes tubercules comestiblesPomme de terre, carotte, panais, navet, betterave, chou-rave, céleri-rave, rutabaga, crosne du Japon, igname, topinambour, ulluque tubéreux, radis, patate douce, manioc, poire de terre (Yacon), oca du Pérou, taro, souchet.Les tubercules ornementauxDahlia, glaïeul, crocus, pivoine, ceropegia, agapanthe, oxalis, cyclamen, anémone de Caen, bégonia tubéreux, capucine tubéreuse, crocosmia, certaines espèces d’arum, iris, lis et orchidées, ficaire fausse-renoncule.

Tubercule

Le fœtus est le produit de la reproduction, à partir du troisième mois de la grossesse. Avant cette période, c’est un embryon. La période fœtale se caractérise par une croissance rapide : si à huit semaines, le fœtus pèse de l’ordre d’un gramme, il donnera un bébé de 2,7 et 4,1 kg à la naissance. 
Le développement du fœtus peut être influencé par des substances néfastes, ou tératogènes, créant des anomalies : l’alcool (responsable du syndrome de l’alcoolisme fœtal), la nicotine, des médicaments... Des infections contractées par la mère comme la rubéole, le virus Zika, peuvent aussi nuire au développement du fœtus.
Le développement du fœtus
Au cours du développement du fœtus, du troisième mois jusqu’à la fin de la grossesse, les évolutions suivantes sont observées :
Pendant le troisième et le quatrième mois : le corps s’allonge, l’encéphale grossit, le visage prend une apparence humaine, la peau apparaît, les organes génitaux externes deviennent visibles, les glandes digestives se développent, la moelle osseuse fabrique des cellules sanguines.Pendant le cinquième mois, le fœtus adopte la position fœtale à cause du manque de place et la mère ressent ses premiers mouvements.Pendant le sixième et le septième mois : le poids augmente de manière importante, les yeux s’ouvrent, les os des membres commencent leur ossification, les ongles et l’émail des dents de lait se forment, les testicules des garçons sont descendus dans le scrotum. Le bébé prématuré peut survivre à 27 semaines.Pendant le huitième et le neuvième mois, la peau prend une coloration blanc rosé et le fœtus continue de grossir.

Fœtus

Le pénis appartient aux systèmes reproducteur et urinaire masculins.
Fonction du pénis
Le pénis a deux fonctions majeures : 
permettre l’évacuation de l’urine provenant de la vessie ;expulser les spermatozoïdes dans le vagin lors de l’éjaculation au cours de l’acte sexuel.
Lorsqu’une excitation sexuelle se produit, le pénis durcit et se dresse grâce à une importante arrivée de sang dans les tissus érectiles : c'est l'érection. Pour que l’homme puisse assurer un acte sexuel et pénétrer dans le vagin, le pénis doit être en érection.
Structure du pénis
Le pénis est un organe externe, composé du gland, à l’extrémité, et de la verge. Son extrémité en forme de cône possède une petite ouverture où passent l’urine et le sperme qui transitent tout d’abord par l’urètre. Le gland est recouvert d'une peau protectrice, le prépuce. La verge, qui commence à la base du pénis, ressemble à un cylindre.
L’urètre est, d’une part, relié à la vessie pour éliminer l’urine. D’autre part, il est relié à la prostate, où le sperme est maturé pour être éjaculé.
Le pénis non excité est souple et pend entre les jambes. Il est composé de tissus érectiles richement innervés, composés de deux corps caverneux et d’un corps spongieux. Dès la naissance, les garçons commencent à avoir des érections réflexes. Chez l’adolescent ou l’adulte, on peut constater une érection réflexe le matin au réveil.
La taille du pénis n’a aucune importance dans la satisfaction sexuelle d’un couple. En effet, les parois du vagin ont la capacité de s’adapter à la forme et à la taille de n’importe quel organe masculin.

Pénis

La grossesse est le processus de développement d'un nouvel être à l'intérieur des organes génitaux de la femme. Après neuf mois de grossesse, la femme enceinte donne naissance à son bébé.Quels sont les signes d'un début de grossesse ?Lorsqu'une femme suspecte un début de grossesse, plusieurs signes peuvent l'alerter. Tout d'abord, l'absence de règles est souvent le signe le plus évident. Cependant, d'autres symptômes caractéristiques peuvent apparaître, tels que les nausées matinales, la sensibilité des seins, la fatigue accrue et aigreurs d'estomac. Certaines femmes peuvent également devenir plus sensibles aux odeurs ou développer des changements alimentaires, avec des envies ou des dégoûts inhabituels. Les sautes d'humeur et les légères crampes abdominales sont également fréquentes en début de grossesse. Il est important de noter que ces signes peuvent varier d'une femme à l'autre, et qu'un test de grossesse ou une consultation médicale est toujours nécessaire pour confirmer la grossesse de manière fiable.Le test de grossesseLe test de grossesse est un outil essentiel pour les femmes qui soupçonnent une possible grossesse. Ce test simple et fiable permet de détecter l'hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG), dans l'urine. Lorsqu'une femme est enceinte, son taux d'hCG augmente rapidement dès les premiers stades de la grossesse. Le test de grossesse, disponible en pharmacie sans prescription médicale, offre une confidentialité et une commodité précieuses. Il existe différentes variantes de tests de grossesse, dont certains peuvent être utilisés dès le premier jour de retard des règles.Pour obtenir des résultats précis, il est recommandé de réaliser le test le matin, lorsque l'hCG est plus concentrée dans l'urine. Cependant, il est important de noter que le test de grossesse ne peut pas remplacer une consultation médicale. En cas de résultat positif ou de doute, il est impératif de consulter un professionnel de la santé pour confirmer la grossesse et entamer un suivi médical adéquat.Grossesse et changements physiquesLa grossesse entraîne une série de changements physiques importants chez la femme enceinte. Au fur et à mesure que le fœtus se développe, le corps subit des transformations pour soutenir la croissance et le bien-être du bébé à naître. Parmi ces changements physiques typiques de la grossesse, on retrouve l'élargissement des seins et leur sensibilité accrue, en préparation à l'allaitement. Le ventre de la future maman s'arrondit progressivement à mesure que l'utérus s'agrandit pour accueillir le nourrisson en croissance. Cette expansion de l'utérus peut exercer une pression sur la vessie, provoquant une envie plus fréquente d'uriner.De plus, la circulation sanguine s'intensifie, ce qui peut causer des gonflements des pieds et des chevilles. Les hormones de grossesse peuvent également influencer la pigmentation de la peau, provoquant parfois l'apparition d'un masque de grossesse ou de vergetures. Les changements physiques liés à la grossesse varient d'une femme à l'autre, mais il est important de se rappeler que chaque modification est une étape naturelle et nécessaire pour accueillir le nouveau-né en développement.Pour en savoir plus, parcourez nos dossiers consacrés à la grossesse :tout savoir sur la grossesse ;la grossesse mois par mois.

Grossesse

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Le [popupdefinition id=2422]tubercule[/popupdefinition] g&eacute;nital, avant la douzi&egrave;me&nbsp;semaine de [popupdefinition id=3443]grossesse[/popupdefinition], ne permet pas de d&eacute;terminer le sexe du [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition]. &Agrave; la douzi&egrave;me&nbsp;semaine, la transformation se fait : si c'est une fille, le gland devient [popupdefinition id=6140]clitoris[/popupdefinition] et la fente de l'appendice se creuse pour laisser na&icirc;tre les l&egrave;vres. Chez le gar&ccedil;on appara&icirc;t le [popupdefinition id=6142]p&eacute;nis[/popupdefinition] suivi deux semaines plus tard par le gland et le pr&eacute;puce. Il arrive alors que se produisent des &eacute;rections.&nbsp;Ici, le tubercule se transforme en clitoris.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le tubercule génital se transforme en clitoris

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Le docteur&nbsp;Benoit r&eacute;alise dans son cabinet des [popupdefinition id=8113]&eacute;chographies[/popupdefinition] 4D (3D en temps r&eacute;el). Il les compare ensuite aux photos des nouveau-n&eacute;s. Ici, on peut voir la ressemblance entre l'image du [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] et la photo du nouveau-n&eacute;, de profil.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Visage du fœtus et du nouveau-né de profil

L’échographie est une technique d'imagerie médicale qui utilise un échographe. Sans danger et sans douleur, elle a de nombreuses applications médicales, notamment dans le suivi de grossesse ou pour observer les mouvements du cœur. C'est une technique d'imagerie sûre pour le fœtus, comme le Doppler, aussi basé sur les ultrasons. Échographie et ultrasonsL'échographie repose sur les ultrasons (entre 1 et 15 MHz dans les appareils médicaux), qui sont produits grâce à un transducteur. La vitesse de propagation des ultrasons change selon le matériaux qu'ils traversent. Par exemple, leur vitesse de propagation est de 1.500 mètres par seconde dans l'eau, 3.500 mètres par seconde dans les os et 1.450 mètres par seconde dans la graisse.Lorsque les ultrasons se heurtent à l'interface entre deux tissus, ils subissent d'abord une absorption puis une réflexion. Ils retournent alors vers la sonde, si leur incidence est perpendiculaire. Il se forme alors un signal échographique qui apparaît sur l'échographe. Différents modes d'affichage sont disponibles, mais le « mode TM » qui permet une observation en temps réel est le plus utilisé. Ce dernier affiche la position des différentes interfaces rencontrées par les ultrasons, les contours des organes ou du fœtus apparaissent alors à l'écran.

Échographie

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Le [popupdefinition id=2422]tubercule[/popupdefinition] g&eacute;nital, avant la douzi&egrave;me semaine de [popupdefinition id=3443]grossesse[/popupdefinition], ne permet pas de d&eacute;terminer le sexe du [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition]. &Agrave; la douzi&egrave;me semaine, la transformation se fait : si c'est une fille, le gland devient [popupdefinition id=6140]clitoris[/popupdefinition] et la fente de l'appendice se creuse pour laisser na&icirc;tre les l&egrave;vres. Chez le gar&ccedil;on appara&icirc;t le [popupdefinition id=6142]p&eacute;nis[/popupdefinition] suivi deux semaines plus tard par le gland et le pr&eacute;puce. Il arrive alors que se produisent des &eacute;rections.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le tubercule génital

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Le docteur&nbsp;Benoit r&eacute;alise dans son cabinet des [popupdefinition id=8113]&eacute;chographies[/popupdefinition] 4D (3D en temps r&eacute;el). Il les compare ensuite aux photos des nouveau-n&eacute;s.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Visage du fœtus et du nouveau-né

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&Agrave; la huiti&egrave;me semaine, l'[popupdefinition id=2257]embryon[/popupdefinition] prend un aspect humain. Il mesure pr&egrave;s de 3 centim&egrave;tres et&nbsp;ses mains sont encore palm&eacute;es. Le c&oelig;ur a maintenant ses quatre chambres ; il ne fera que grossir ensuite.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Embryon à huit semaines

L’embryon désigne le premier stade du développement d'un œuf ou zygote, dans le règne animal ou végétal, jusqu’à la formation des principaux organes.
Développement de l’embryon
Issu d'une cellule unique, l'embryon se développe par divisions cellulaires successives (mitose). Il passe par divers stades du développement embryonnaire : morula (8-16 cellules), blastula, gastrula, neurula, avant de devenir un fœtus.
Développement de l’embryon humain
La phase embryonnaire chez l’Homme dure environ huit semaines. Elle commence au moment de la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde. Environ quatre jours plus tard, l’embryon entre dans la morula. La différenciation cellulaire commence lors de la blastula, entre le cinquième jour et le septième jour après la fécondation. C’est à cette période que l’embryon s’implante dans l’utérus : on parle de nidation. Suivent aussitôt après la gastrulation, puis la neurulation.
Problèmes éthiques de la recherche sur les embryons humains
Dans les toutes premières phases du développement, les cellules de l’embryon ont la capacité de se transformer en n’importe quel type cellulaire, et constituent des cellules souches très prisées par la recherche biomédicale. De ce fait, les embryons humains soulèvent de nombreux problèmes éthiques. Personne potentielle dès sa conception, l'embryon acquiert le statut de personne humaine à un moment qui relève principalement de conceptions religieuses et philosophiques. Il en découle des attitudes et des opinions contrastées vis-à-vis de l'avortement ou des limites à imposer aux manipulations dont les embryons peuvent faire l'objet, que ce soit pour des objectifs de recherche ou pour des raisons médicales.
Malgré les réticences de certains, la recherche sur les cellules souches embryonnaires a été autorisée dans de nombreux pays, et des essais cliniques ont même été lancés. Après leur découverte et le début des premières polémiques, les scientifiques ont découvert de nouveaux moyens de recréer des cellules souches sans embryon, à partir de cellules somatiques.

Embryon

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Au cours de la [popupdefinition id=3443]grossesse[/popupdefinition], le ventre de la femme s'arrondit.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Femme enceinte et son ventre arrondi

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Cette image exceptionnelle, r&eacute;alis&eacute;e en [popupdefinition id=8096]IRM[/popupdefinition], permet d'observer le [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] en entier. &Agrave; quelques semaines de l'[popupdefinition id=13106]accouchement[/popupdefinition], son [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] grandit encore alors que la croissance des os ralentit.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le fœtus en IRM

L’accouchement correspond à la fin de la grossesse, au moment de la naissance du bébé. Le terme « accouchement » est réservé à l’espèce humaine, tandis que l’on parle plus volontiers de parturition lorsqu’on évoque cet événement pour les autres mammifères vivipares.L’accouchement dans l’espèce humaineLa durée de l'accouchement se situe en moyenne entre 8 et 14 heures. Il est annoncé par des contractions de l’utérus proches et régulières, et parfois par la perte des eaux, lorsqu’il y a rupture de l’amnios et du chorion aboutissant à l’épanchement du liquide amniotique.Sous l’effet des contractions, le col de l’utérus se dilate doucement, permettant peu à peu la descente du bébé. Cette phase de travail est la plus douloureuse et la plus fatigante pour la femme. Elle se prolonge jusqu’à l’expulsion, après des périodes de contractions rapprochées et de poussées intenses, quand le bébé finit par sortir complètement du ventre de sa mère.Après la naissance, l’accouchement n’est pas tout à fait terminé. Plusieurs dizaines de minutes après l’expulsion, l’utérus se contracte brutalement afin de rejeter le placenta. Cette phase, appelée délivrance, est importante et il faut veiller à ce que toute la poche embryonnaire ait bien été retirée.Dans certains cas, l'accouchement peut être réalisé par césarienne : non par les voies naturelles, mais par une opération chirurgicale visant à ouvrir la paroi utérine et à en extraire l'enfant.

Accouchement

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En avalant et en inhalant du [popupdefinition id=10264]liquide amniotique[/popupdefinition], le [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] go&ucirc;te au repas de sa maman.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Bébé partage les repas de maman

Le liquide amniotique est un liquide stérile, clair et aqueux dans lequel baigne l'embryon, puis le fœtus, tout au long de la grossesse chez les mammifères. Très majoritairement composé d'eau (à 97 %), il contient également des cellules du fœtus ainsi que son urine. 
Rôle du liquide amniotique
Il permet au petit en gestation de se mouvoir sans risque, de se protéger des chocs et des bruits extérieurs et de se développer dans un environnement à température corporelle. Les organes de la mère sont aussi à l'abri des coups du fœtus.
Il est sécrété et éliminé en permanence. Le fœtus l'avale et active ainsi ses reins.
Aux alentours de la 34e semaine de grossesse chez la femme, le liquide amniotique atteint son volume maximal d'environ 1 litre.
Un peu avant l'accouchement, lorsque l'utérus se contracte, la poche des eaux rompt. Le liquide se déverse alors et lubrifie au passage les voies génitales pour faciliter le passage imminent du nouveau-né.
Pathologies liées au liquide amniotique
On relève deux situations pathologiques liées au liquide amniotique :
l'oligomanios, qui est un manque de liquide amniotique (- de 200 mL). S'il est temporaire, cela n'a rien d'inquiétant. Mais si cela se prolonge, les risques deviennent plus importants. En général, il advient une rupture de la poche des eaux ;l'hydramnios qui est un excès de liquide amniotique (+ de 2 L). Cela augmente les probabilités de contractions utérines susceptibles de rompre la poche des eaux. Si cela se produit trop tôt dans la grossesse, on risque une naissance prématurée.

Liquide amniotique

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Le b&eacute;b&eacute; assimile d&eacute;j&agrave; in utero les sourires et les grimaces.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Sourires et grimaces du bébé dans le ventre de maman

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Le [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] est d&eacute;j&agrave; pr&eacute;par&eacute; biologiquement &agrave; marcher.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le fœtus et la marche

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Quand une r&eacute;gion du [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] impliqu&eacute;e dans le d&eacute;sir sexuel est activ&eacute;e, ses cellules produisent des d&eacute;charges &eacute;lectriques. La [popupdefinition id=7321]pression art&eacute;rielle[/popupdefinition] augmente.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

L'excitation sexuelle dans le cerveau

La tension artérielle, ou pression artérielle, mesure la force exercée par le sang sur les parois des artères. Cette pression est fondamentale pour l’équilibre du corps. Lorsque la tension est trop élevée, on parle d’hypertension artérielle. D’où vient la tension artérielle ?Le sang doit atteindre toutes les parties du corps, grâce aux artères, qui sont des tissus dotés de muscles et permettent la circulation du sang par leur élasticité. Pour cela, le cœur essaie de le pomper. Pour maintenir cette circulation du sang, il faut donc exercer une pression sur la paroi interne des artères. C’est cet équilibre qui détermine la tension artérielle. Quand tout fonctionne sans problème de pression, chaque cellule reçoit son quota d’oxygène et de nutriments.Cette circulation du sang dépend également des reins, du cerveau et de certaines hormones. Le contrôle est effectué par le cerveau, qui transmet l’information via le système nerveux. Celui-ci est divisé en deux : le système nerveux sympathique et le parasympathique. Le premier correspond à un rythme cardiaque accéléré, il ordonne aux artères de se comprimer. Le parasympathique fait tout le contraire. Il demande à faire baisser le rythme cardiaque, à dilater les artères. En principe, ils trouvent l’équilibre et la pression reste régulée.La tension artérielle se mesure à l'aide d'un tensiomètre. © rocketclips, Adobe StockQuelles sont les valeurs limites pour la tension artérielle ?Deux chiffres sont annoncés par les médecins : le premier, le plus élevé (autour de 12) correspond à la pression systolique, le deuxième correspond à la pression diastolique (autour de 8). Elle se mesure en millimètres de mercure. La mesure doit être effectuée de préférence dans le cabinet du médecin, par un cardiologue ou un médecin généraliste. En dessous de 10/7, la pression est considérée comme faible. Il ne s’agit alors pas d’une maladie, mais peut provoquer un malaise, des vertiges, des nausées ou des évanouissements. Au-dessus de 14.5/9, les valeurs sont considérées comme élevées. Pour qu’une personne soit diagnostiquée comme souffrant d’hypertension, elle doit faire mesurer sa pression au repos, en position couchée ou assise, dans un environnement calme et le résultat doit être répété deux fois, trois minutes après l’évaluation précédente.Bloc "Le saviez-vous ?"Que faire en cas d’hypertension ?L’hypertension peut être asymptomatique, d’où l’intérêt de faire vérifier sa tension artérielle par son médecin a minima une fois par an, éventuellement dans une pharmacie, ou à surveiller chez soi à l’aide d’un tensiomètre.Pour faire baisser la tension artérielle, le médecin traitant peut prescrire un traitement qui sera le plus souvent à suivre à vie. Il est aussi recommandé de pratiquer une activité physique régulière (la sédentarité est reconnue néfaste pour la santé), de diminuer l'apport en sel dans son alimentation, de réduire tabac et alcool si vous en êtes consommateur. Une tension artérielle trop élevée entraîne des risques de complications cardiovasculaires comme l'accident vasculaire cérébral (AVC).

Tension artérielle

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Sous les caresses, des zones sp&eacute;cifiques du [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] s'activent, visibles par [popupdefinition id=8096]IRM[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

L'action des caresses sur le cerveau par IRM

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Dix jours apr&egrave;s la [popupdefinition id=148]f&eacute;condation[/popupdefinition], l'&oelig;uf va briser sa membrane et cherche un nid douillet : la paroi ut&eacute;rine. Une fois fix&eacute;, il envoie un signal hormonal (le HCG) pour ne pas &ecirc;tre &eacute;limin&eacute; par l'arriv&eacute;e des r&egrave;gles. La pr&eacute;sence de HCG confirme donc la [popupdefinition id=3443]grossesse[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Dix jours après la fécondation

La fécondation correspond à la fusion entre un élément mâle (ex. : un spermatozoïde) et un élément femelle (ex. : un ovule) pour donner une cellule unique, l’œuf qui sera à l’origine de l’embryon.
Les étapes de la fécondation humaine
La fécondation naturelle humaine nécessite la présence d’un ovocyte, issu de l’ovaire par ovulation, et d’un spermatozoïde au niveau de la trompe de Fallope. La rencontre des deux gamètes et leur fusion ne sont possibles qu’après reconnaissance de facteurs spécifiques sur les deux cellules, ce qui empêchera alors d’autres spermatozoïdes de pénétrer dans l’ovule. 
L’ovocyte peut à ce moment-là entamer les dernières étapes de méiose. Les deux noyaux haploïdes (ou plutôt les deux pronucléi) peuvent finalement fusionner pour former un seul noyau diploïde (à deux jeux de chromosomes). La cellule œuf peut alors commencer à se diviser pour former un nouvel individu, génétiquement distinct de ses parents.
La fécondation in vitro
Les améliorations des techniques de procréation médicalement assistée (PMA) ont permis de réaliser, aujourd’hui couramment, des fécondations in vitro, en dehors du corps de la femme. 
La fécondation peut même être forcée par l’insertion du spermatozoïde directement dans l’ovocyte (c’est l’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes).

Fécondation

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Le [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition] est en &eacute;bullition : les cellules nerveuses se multiplient &agrave; raison de 250.000 &agrave; la minute.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Huitième semaine de grossesse

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&Agrave; douze semaine, les mains du [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] sont maintenant bien form&eacute;es et les [popupdefinition id=2348]ongles[/popupdefinition] pr&eacute;sents.&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Le fœtus à douze semaines

L'ongle forme l’extrémité des doigts chez l’être humain et chez certains animaux, principalement les mammifères, notamment les ongulés pour lesquels les sabots sont indispensables à leur locomotion. L’ongle est une structure plate et dure, formée de kératine, une protéine insoluble, fibreuse, présente dans la couche profonde de l'épiderme, et dans de nombreuses parties du corps, comme les cheveux. Le rôle de l’ongle est de protéger le bout des doigts, d’avoir la sensibilité tactile et de faciliter la manipulation d'objets. Dans de nombreuses cultures à travers le globe, l’ongle peut être aussi taillé et décoré ou peint.Les soins des ongles impliquent souvent des soins réguliers tels que nettoyage, coupe, limage et hydratation réguliers qui sont nécessaires pour maintenir la santé et l'apparence des ongles.L’ongle se compose d’une partie visible appelée la « plaque de l'ongle » généralement translucide et d’une coloration rose pâle en raison de la vascularisation sous-jacente. Sa racine se situe sous la peau. L'ongle pousse en moyenne à un rythme régulier d'environ 2 à 3 millimètres par mois pour les ongles des mainsUn ongle en bonne santé Un ongle en bonne santé se caractérise par plusieurs aspects visuels et physiques. Il est d’une texture lisse et uniforme, sans bosses, ni sillons ou rugosités. Il est d’une forme cohérente et symétrique, sans être courbé vers le haut ni enfoncé dans la chair. Ses bords sont intacts, ni fendillés. La cuticule, qui est la fine peau autour et à la base de l’ongle, est d’un aspect régulier. L’épaisseur d’un ongle doit être modérée ; trop mince, il se casse ; trop épais, il est difficile à entretenir. L’ongle en bonne santé ne présente pas de taches, ni de boursouflures, ni de stries profondes.Que ce soit culturel ou par choix esthétique, les ongles sont souvent mis en beauté par des vernis ou de minutieuses décorations peintes sur l'ongle. © Darya Lavinskaya, Adobe StockUn ongle en mauvaise santé Un ongle cassant ou qui se déchire ou qui se dédouble indique une fragilité, ou des carences nutritionnelles. De même, une coloration inhabituelle — comme le jaune, le brun ou le bleu —, des points noirs ou une épaisseur inhabituelle reflètent peut-être des infections fongiques, des problèmes de circulation sanguine ou des problèmes de peau comme le psoriasis.Les sillons et stries se présentent comme des rainures longitudinales ou transversales sur la surface des ongles et elles sont le résultat d’un vieillissement naturel, de carences. Une déformation de l’ongle présentant une courbure anormale, une forme irrégulière, peut être liée à des problèmes de santé sous-jacents tels que l'arthrite. Un ongle sensible, qui brûle ou picote, un bord enflé et rouge, chaud au toucher autour de l’ongle, sont des paramètres signalant probablement une infection bactérienne ou une inflammation. La santé des ongles est influencée par divers facteurs, notamment la génétique, l’hygiène personnelle, l'alimentation, les maladies sous-jacentes et les chocs. Un dermatologue est le professionnel de santé et le bon interlocuteur pour établir un diagnostic précis et un traitement approprié.

Ongle

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Ces images en [popupdefinition id=8096]IRM[/popupdefinition] permettent d'assister &agrave; la naissance du [popupdefinition id=3125]cerveau[/popupdefinition], de la [popupdefinition id=2330]moelle &eacute;pini&egrave;re[/popupdefinition] et de la [popupdefinition id=8325]colonne vert&eacute;brale[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

La formation du système nerveux

La colonne vertébrale constitue le squelette du dos.
Localisation de la colonne vertébrale
La colonne vertébrale est située au milieu du dos, qu’elle sépare en ses côtés gauche et droit. Elle repose sur le bassin, sert de support aux côtes et au crâne. 
Structure de la colonne vertébrale
La colonne vertébrale est un empilement de 24 vertèbres (33 si l’on compte les vertèbres soudées du sacrum et du coccyx). On distingue de haut en bas :
Les 7 vertèbres cervicales, le rachis cervical ;Les 12 vertèbres thoraciques, le rachis thoracique ;Les 5 vertèbres lombaires, le rachis lombaire ;Les 5 vertèbres sacrées, le rachis sacré ;Les 4 vertèbres coccygiennes, le rachis coccygien.
Elle présente au total quatre courbures, dont deux concaves en avant (au niveau des rachis thoracique et sacré) et deux concaves en arrière (au niveau des rachis lombaire et cervical).
Chaque vertèbre présente un corps vertébral cylindrique du côté antérieur, et un foramen vertébral du côté postérieur qui forme un canal osseux dans lequel les nerfs de la moelle épinière peuvent passer. Deux processus transverses, et un processus épineux forment des excroissances des vertèbres latéralement et en arrière.
Fonction de la colonne vertébrale
La colonne abrite une partie du système nerveux central, la moelle épinière.

Colonne vertébrale

La moelle épinière appartient au système nerveux central.
Fonction de la moelle épinière
La moelle épinière constitue le prolongement du cerveau de la boîte crânienne, à partir du bulbe rachidien et ce tout le long de la colonne vertébrale dans laquelle elle est contenue. Son rôle est de distribuer les nerfs entre le cerveau et les différentes parties du corps.
Elle est impliquée dans les réflexes, par exemple lorsque l’on retire sa main d’une plaque de cuisson brûlante, directement sans passage de l’information nerveuse au cerveau.
Structure de la moelle épinière
La moelle épinière est un cordon blanc de 1 centimètre de diamètre et de 50 centimètres de longueur. Elle présente deux renflements correspondant à l'émergence des membres et se termine en pointe au niveau de la deuxième vertèbre lombaire. Les nerfs rachidiens, qui sont directement reliés à la moelle épinière, sont au nombre de 31 paires (gauche et droit), chaque nerf présentant deux racines :
racine postérieure ou sensitive ;racine antérieure ou motrice.
Tous les nerfs rachidiens sont donc mixtes : moteurs et sensitifs.
La coupe transversale de la moelle épinière présente deux régions :
au centre, la substance grise (en forme de H) qui renferme les corps cellulaires des neurones ;en périphérie, la substance blanche qui est composée d’axone dans leur gaine de myéline.

Moelle épinière

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En position assise, le [popupdefinition id=3386]f&oelig;tus[/popupdefinition] mesure environ 10 centim&egrave;tres. Il est encore trop t&ocirc;t pour &eacute;valuer le sexe &agrave; l'[popupdefinition id=8113]&eacute;chographie[/popupdefinition].&copy; Mona [popupdefinition id=4312]Lisa[/popupdefinition] - EureliosPhoto &copy; Thierry BerrodReproduction et utilisation interditesPour en savoir plus :http://www.monalisa-prod.com/

Un spermatozoïde au microscope

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