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Peu variés en ce qui concerne leur composition chimique fondamentale, les êtres vivants présentent une diversité morphologique considérable. Cette diversité n'affecte pas seulement les détails (il existe plusieurs millions d'espèces animales et végétales), elle est plus encore marquée par une différenciation profonde de nombreux types structuraux (les diverses classes et embranchements). Une telle multiplicité des types d'êtres vivants est le résultat de l'évolution biologique qui se déroule sur notre planète. De cette évolution, la paléontologie permet, grâce aux fossiles, de reconstituer les modalités.

Reconstitution d'un crane d'Homo naledi. © Martinvl - CC BY-SA 4.0

Reconstitution d'un crane d'Homo naledi. © Martinvl - CC BY-SA 4.0

Ainsi, chez les vertébrés, nous allons, à travers l'étude de cinq crânes d'hominidés, observer les différentes caractéristiques de l'hominisation, notamment la disparition des caractères simiens. Nous verrons aussi comment certains reptiles terrestres se sont adaptés à la vie aquatique. Enfin, nous étudierons les différents caractères évolutifs de certains invertébrés et nous verrons l'importance de l'étude des microfaciès et des microfossiles dans la détermination des paléoenvironnements.

Ce dossier est issu d'un compte rendu de travaux pratiques préparé par Sébastien Potot & Julien Bertholon (note : 16/20)